-52 av JC
Vercingétorix, chef de Gaule, l’ancienne France, réunit à lui seul 100 000 combattants à Alésia ce qui lui permit d’ériger une place forte afin de résister aux assauts de Rome.
Jules César encercla Alésia avec une garnison de 60 000 hommes armés.
Malgré leur surnombre, les gaulois ne surent trouver de failles dans les défenses romaines, ils étaient, pour ainsi dire, bloqué.
Sans eau ni nourriture et épuisé par les assauts légers mais incessants des romains, 100 000 guerriers aguerris sont inefficaces…
C’est pourquoi, Vercingétorix entrevit une solution, il envoya ces 4 meilleurs soldats discrètement à l’extérieur de la place forte en leurs demandant de cherché du renfort et de revenir en prenant les romains en tenaille par l’arrière, les romains ainsi prit à contre-pied, baisserait leur garde permettant aux troupes de la place forte de les submerger par le nombre.
Il ne pouvait décemment pas envoyer plus d’homme sous peine d’être repéré.
Les mois passèrent, les 4 chevauchèrent pardessus les monts, au travers du vent.
L’un d’eux avait des cousins belges, une redoutable tribu guerrière, ils réussirent à convaincre quelques celtes assoiffés de sang romain de se joindre au corps expéditionnaire.
Un autre descendait d’une lignée scandinave, le folklore viking voulant que les membres d’une même famille s’entraident, son frère ainé accepta de lui ramener des prisonniers de guerre de l’ancienne Amérique, venue du nord profond.
Ils n'ont réussis à réunir que 5000 hommes, ce qui semblait peu, mais le temps pressait et n’était plus au rêve d’une armée puissante, il fallait rentrer et si possible, enrôlé au passage quelques hommes de plus.
Effort non négligeable, ils ont réunis 800 hommes durant le trajet.
A 20Km d’Alésia, le plan de bataille était simple, foncer tête baissé dans le dos des romains, caché derrière une épaisse forêt, ils avançaient prudemment, rasant la terre, épousant la forme des arbres, leurs yeux embrumé par la haine, ils devenaient plus assassins que guerriers.
Lorsque, comme pour briser le silence, les 4 généraux décidèrent de sonner la charge par un cri à faire trembler, 5800 hommes sortirent des feuillages en directions des tentes romaines, leurs pas, semblables à des coups de canons, secouaient la terre de manière inouïe, les tentes ne firent pas long feu mais un détails perturbait les hommes, les tantes étaient vides, et l’environnement, désespérément calme…
Même l’intérieur d’Alésia ne répondait pas plus que ça, mais étrangement, il n’y avait pas de trace de bataille, les maisons étaient debout, l’herbe dressé au ciel et les murailles ne comportaient pas plus de trace de lutte que ça…
En fouillant les maisons, ils y découvrirent un soldat réfugié, n’osant plus sortir, il leur expliqua qu’au cour d’un duel, Vercingétorix dut se livrer aux armées romaines car il avait perdu.
Il dut faire cela pour protéger ces hommes de la faim et de la mort.
Les 4 généraux se rendirent à la Capitale, camouflé et silencieux.
Arrivé au Colisée, Jules César annonce une grande surprise à la fin du spectacle.
Ils regardèrent la prestation sanglante dans son intégralité, avec toute la barbarie dont sont capable les romains, puis, après cet horrible spectacle, Jules César fit sortir une cage en la faisant trainer au sol et dit qu’il avait capturé le chef de Gaulle.
A ces mots, ils scrutèrent avec attention l’intérieur de la cage et virent en effet, Vercingétorix, à genoux, il avait l’air en bonne santé, mais son regard était vide de toutes passion.
A cette idée les 4 généraux, formés par lui, sortirent du Colisée et firent une promesse, celle de le délivré en renversant l'empire de Rome.
C’est donc avec peu d’hommes, un fort ressenti et une motivation sans pareil, qu’ils partirent dans les endroits les plus dangereux de la Gaule et même du monde afin de réunir le plus de soldats possible et d’en faire l’armée la plus crainte des 5 continents…
Respect, help with each others, politeness, activity and kindness are required.
Le grand! Le magnifique! Le mirifique! Le spontané! LA PANTHÈRE DE JADE DE NIMES! Astral!!!